L'Institut de Géopolitique des Populations a été créé le 7 février 2000 à l'initiative de Jacques Dupâquier+, membre de l'Institut, et d'Yves-Marie Laulan, économiste, avec Pierre Messmer+, de l'Académie française, Chancelier de l'Institut de France, ancien Premier ministre, comme président d'honneur, répondait au souci d'intégrer plus étroitement la démographie dans la réflexion géopolitique afin de mieux cerner les grands problèmes de notre temps.
Il s'agissait aussi, dans l'esprit de ses créateurs d'éveiller le grand public et les médias aux conséquences des phénomènes démographiques dans les domaines les plus divers de nos sociétés, économiques, sociaux et culturels. Pour cela, l'association se proposait de lancer des travaux de recherches à caractère scientifique aussi rigoureux que possible qui formeraient la base d'une information fiable et objective. L'Institut de Géopolitique des Populations organise ainsi chaque année un certain nombre de manifestations sous forme de colloques et de dîners-débats dont les travaux font l'objet d'une publication dans la revue de l'association ou dans des ouvrages grand public. L'Institut publie également régulièrement une lettre analysant les questions du jour à l'usage de ses abonnés. Cette lettre est souvent reprise sur divers sites.
Lire le communiqué de Y.M. Laulan, président de l'institut
L'association est assistée par un Conseil scientifique de haut niveau. Les personnalités suivantes ont accepté d'en faire partie :
Rappelons-nous. Voici près de 12 ans que vous soutenez sans défaillance l'action de l'Institut de Géopolitique des Populations que j'ai créé en février 2000, à l'aube de ce nouveau millénaire, avec Jacques Dupâquier, de l'Institut, qui nous a, hélas, quitté l'an dernier et le soutien de Pierre Messmer, ancien Premier Ministre, lui aussi disparu.
En ces 12 années, nous avons tenu 10 colloques, 4 déjeuners débats et publié 12 ouvrages, sans compter la lettre d'actualité de l'IGP. Et je citerai parmi les plus anciens « L'entreprise française devant ses problèmes démographiques » (2000 ) ; « Où va l'Afrique noire ? » (2001) ; « Ces migrants qui changent la face de l'Europe » (2003), sans oublier :
« Inflation et croissance au XXIème siècle » (2008) « Les femmes devant le déclin démographique » (2009) et « Les prochaines guerres seront-elles démographiques ? » (2011), parmi les plus récents. Je crois pouvoir affirmer que nous n'avons pas perdu notre temps, au service de la France et de la vérité.
Nous avons ainsi, grâce à votre concours, pu enfoncer des portes jusqu'ici solidement cadenassées et faire pénétrer un peu de lumière dans des zones d'ombre obstinément fermées à l'information et au débat. Ce n'est déjà pas mal. Les Français s'ouvrent peu à peu à la prise de conscience de ce qu'au delà du discours convenu, il y a des vérités gênantes que l'on ne peut plus taire.
Mais nous voulons aller plus loin. La crise économique et financière, longtemps dissimulée, est là, prête à nous étouffer. Mais il y a également la pression migratoire qui se presse à nos frontières, à une cadence de plus de 250 000 entrées par an. Cette immigration est, tenez-vous bien, financée par le déficit budgétaire, 85 milliards d'euros, et donc ce fameux endettement de la France, 1 646 milliards euros (85 % du PIB), dont on parle tant et si tardivement. Il sera payé par nos enfants et nos petits enfants. Financer par l'emprunt une immigration largement composée d'inactifs et d'assistés sociaux, et cela en pleine crise économique, il n'y a qu'en France que l'on voit cela.
Mais cela fait de la France un pays qui s'achemine tout doucement vers le sous développement, un pays qui aura de plus en plus de difficultés à payer les retraites et la santé, un pays où la sécurité au quotidien ne sera plus assurée, un pays qui ne sera plus la France que nous avons connue et aimée mais une juxtaposition de communautés étrangères les unes aux autres vivant dans la méfiance, la violence et le soupçon.
On ne peut pas laisser faire cela. La seule façon de réagir est de faire connaître la vérité, toute la vérité aux Français que les pouvoirs publics, avec la complicité des médias, tiennent dans l'ignorance et la confusion.
C'est pour cela que nous organisons un nouveau colloque le 16 février 2012 à l'ASIEM (6, rue Albert de Lapparent, 7°). Nous vous enverrons bien entendu, une invitation à cet effet en début d'année prochaine. Mais, d'ores et déjà, je dois faire appel à vous pour financer, dès aujourd'hui, l'organisation de ce colloque d'une grande importance. En effet, de quoi s'agit-il ?
Nous avions déjà organisé, vous vous en souvenez sûrement, avec le concours d'économistes reconnus, un premier colloque en 2005 sur les coûts économiques et financiers de l'immigration. Ce colloque avait eu un grand succès et aidé à éclairer un sujet sensible qui était jusqu'alors considéré comme « tabou » par la presse.
Mais, entre temps, des journalistes et des pseudo-chercheurs plus ou moins bien inspirés (on devine par qui) ont lancé à qui mieux mieux des estimations plus ou moins fantaisistes sur les coûts qui ont largement contribué à semer la confusion dans les esprits sur la situation réelle.
Et puis, et surtout, la situation a profondément changé. Chacun sait que la France rentre dans une période de « vaches maigres ». Faut-il, dans ce contexte déprimé, continuer à financer une immigration largement composée d'inactifs et de futurs assistés sociaux, à un coût qui grève le budget de l'Etat et celui de la Sécurité sociale, dès qu'ils ont franchi nos frontières ?
C'est pour cela qu'il faut y voir clair de façon à ce que chacun puisse se faire une opinion sur un sujet aussi essentiel pour notre avenir et celui de notre pays et agir selon sa conscience.
Je viens donc vous demander de m'aider à organiser ce colloque, qui, à cet instant de notre calendrier politique, aura, n'en doutez pas, un impact dont il ne faut pas minimiser l'importance, sur le visage de la France de demain.
AIDEZ-NOUS A POURSUIVRE L'ACTION DE L'INSTITUT DE GEOPOLITIQUE DES POPULATIONS
AIDEZ- NOUS A MONTER UN GRAND COLLOQUE SUR LES VRAIS COUTS DE L'IMMIGRATION
Un grand merci à l'avance
Toujours fidèlement à vous au service de notre pays.
Yves Marie Laulan, président